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SAGESSE

 

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LA SAGESSE DES CETTE VIE ?

Celui qui a réalisé la Sagesse
...... est libéré de tous les complexes,
..... de toutes les obsessions,
..... de tous les tracas,
..... et de tous les problèmes
..... qui tourmentent son entourage.
Sa santé mentale est parfaite.
Il ne regrette pas le passé,
..... i.l ne se préoccupe pas de l'avenir,
..... il vit dans l'instant présent, ici et maintenant.
Il apprécie donc les choses
..... et en jouit dans le sens le plus pur
..... sans aucune projection de son moi.
Il est joyeux, il exulte, jouissant de la vie pure,
..... serein et paisible.
Il est libre de désirs égoïstes, de haine,
..... d'ignorance, de vanité,
..... d'orgueil et de tout empêchement.
Il est pur et doux, plein d'un amour universel,
..... de compassion, de bonté, de sympathie,
..... de compréhension et de tolérance.
Il rend service aux autres
..... de la manière la plus pure,
..... car il n'a pas de pensée pour lui-même,
..... ne cherchant aucun gain, n'accumulant rien,
..... même pas les biens spirituels,
..... parce qu'il est libéré de l'illusion du Soi
..... et de la " soif " de devenir.
La sagesse
au sein de l'Ineffable
..... est au delà des termes de la dualité
..... et de la relativité.
Elle est donc au delà
..... de nos conceptions communes
..... du bien et du mal, du juste et de l'injuste,
..... de l'existence et de la non-existence,
..... de la logique et du raisonnement.

N.B. Il s'agit de la transposition d'un  texte bouddhique - sagesse remplaçant ici nirvana - à propos duquel il importe peut-être
de préciser  pour celles et ceux qui penseraient que j'en doute,
qu' hélas,
je n'en suis évidemment pas encore là.

Mais autant savoir où on veut aller pour avoir des chances
d' y aller un jour, non !

A ce propos , si on y allait ensemble dans le respect des évolutions spirituelles de chacun et dans une parfaite égalité d'estime,
sans "chef", "maître"ou autre gourou surtout ?

 

 

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ESPRIT CRITIQUE

De même que peu de gens semblent savoir que donner une médaille, par exemple, est ausis une sanction, on ignore souvent que dire du bien est incontestablement, comme dire du mal, une critique.

Or, de plus ne plus, l'esprit et le sang peut-être "alourdis" par le carnivorisme et/ou l'alcool et/ou le tabac, entre autres, des respon- sables considérés comme intelligents semblent totalement ou au moins beaucoup manquer d'esprit critique, à moins que ce ne soit de courage après avoir tout de même, en leur for intérieur, critiqué une situation.

Ca devrait "faire tilt" automatiquement quand on lit ou entend ou voit ce qu'il faut bien appeler une connerie ou une contre-vérité évidente et incontestable. Et pourtant quotidiennement ..... A croire que la fonction "logique" dans l' "ordinateur cérébral" .....

C'est même vrai pour ce qui est du sens qu'on met derrière les mots. Un exemple banal : on continue de parler de l'annuelle course cy- cliste "Paris-Roubaix" et pourtant ça fait des années qu'elle part de Compiègne. Etc., etc.

Est-ce logique ? Si les mots ne veulent plus dire ce qu'ils semblent nommer, on va où ?

 

 

 

 

POURQUOI CETTE TERRE
NE TOURNE ¨PAS ROND"

Peut-être parce que relativement peu de Terriens - peu sensibles aux veaux " fous " et éphémères de l'argent et des pseudo-bonheurs matériels -, fondent leur vie sociétale (familiale, professionnelle, associative, etc.) qui est un tout indissociable, sur une base spirituelle, ou métaphysique (si le mot "spirituel" donne des démangeaisons), a fortiori personnelle, réfléchie et indépendante des structures écclésiales trop souvent sclérosées et sclérosantes ?

Peut-être parce que relativement peu de Terriens ont l'humilité et/ou le réalisme et/ou l'intelligence du coeur de remettre en cause régulièrement - tous les six mois au moins - leurs certitudes et schémas de pensées de tous genres sur la base de lectures, de dialogues et de temps de réflexion personnelle en quantité suffisante ?

Peut-être parce que relativement peu de Terriens ont effectivement le temps ou prennent le temps de réfléchir avant, pendant et après leurs actions ..... et réactions ?

Peut-être parce que, au fond, puisqu'il faut de tout pour "faire" une âme, et que les voies de l'Ineffable sont insondables, il se pourrait bien que cette planète-ci soit l' "enrichissant" lieu d'expérimentation de la vie spirituelle et de l'éveil dans un environnement particulièrement ....... "éprouvant" parce que de plus en plus insensé ?

 

 

Il faut se garder de confondre
soif de sagesse et soif d'équilibre psychique,

les deux pouvant utilement exister ensemble,
mais bien évidemment

la satisfaction de la seconde étant indispensable
avant de pouvoir épancher la première

 

DE LA NECESSITE D'UN "GOUROU"

Faut-il forcément finalement un gourou, un maître ou un ami spirituel (que la culture catholique appelait, dans le temps, "un directeur de conscience") pour atteindre la Sagesse ou au moins cheminer vers elle, sans traîner en route, cette vie-ci?

Si le gourou est lui-même très sage, s'il vous convient, quoiqu'il puisse parfois s'avérer aussi déroutant et éprouvant, et s'il fait pour vous, si nécessaire, d'abord fonction de "bon psy", en sachant s'il n'est pas européen, adapter ses conseils à votre culture, cela peut s'avérer très utile. Surtout si vous vous gardez bien de l'aduler "à l'orientale".

Mais on peut penser qu'assez vite sur le chemin le mieux est d'avan- cer "seul", avec autant de modestie que d'indépendance, tout en continuant de butiner fructueusement dans les pensées des autres chercheurs réputés ou non.

D'autant plus que LE MAITRE est en vous.

 

MONISTE OU DUALISTE

Un chercheur moniste (et surtout pas mooniste) finit par penser que l'lneffable est Tout, et que donc rien n'est extérieur à Lui.

Le cher- cheur dualiste pense que l' Ineffable, amoureusement entre autres, regarde "face à lui" sa création, ce qui laisse entendre qu'Il n'est pas tout

Où est la Vérité ? L'Ineffable seul la connaît probablement, et c'est l'Essentiel. On peut, librement, Lui faire confiance.

 

 

 

MESSAGE

Puissiez-vous aimer ce message

Qui pourrait vous mener plus haut

Et vous aider à être sage

En enlevant votre bandeau

Pas à pas, suivez le sentier

Qui d'abord conduit en vous-même

Il faut apprendre à discerner

Le faux, le vrai et les extrêmes

En recherchant le détachement

Des biens superflus de la vie

Soyez simple, et modestement

Progressez sans aucune envie

N'adressez pas de vains reproches

A celui qui est éprouvé

Près de sa douleur, soyez proche

Et tout prêt à le consoler.

Aimez tendrement la Nature,

Les arbres, les fleurs, les animaux.

Etudiez ses lois, ses augures,

Ménagez la comme un cadeau

De quelque sorte qu'elles soient

Rejetez toujours les nuisances,

Et refusez les faux débats

Qui sont le début des violences

Puis étudiez la " Connaissance "

Qui conduit à la Vérité

Le reste aura peu d'importance

Lorsque vous l'aurez discerné

Exprimez vous, offrez de prendre,

Soyez un témoin constamment

Que chacun puisse vous comprendre

Pour assimiler l'important

Ce message vous l'aurez compris

En ouvrant tout grand votre cœur

Explique ce qu'Il a promit

Pour vous trouver le vrai le Bonheur

Ne le gardez pas pour vous seul

Partout accordez l'assistance

A ceux qui sont devant l'écueil

Et qui attendent l'espérance

Vous aurez la joie infinie

D'avoir rempli votre devoir

Et d'avoir fait de votre vie

Un nouveau flambeau de l'Espoir.

    A vec l'aide d' Albert CHANTRAINE

 

L'essentiel est invisible aux yeux

 

 

 

Plus on monte haut,
mieux on est sensé voir. Alors est-ce qu'avoir
deux "ailes"
à son patronyme
est un clin d'oeil
du destin ?

 

 

La célèbre lettre du Chef Seattle


La fin de la vie et le début de la survivance


Comment pouvez-vous acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? L'idée nous  paraît étrange. Si nous ne possédons pas la fraîcheur de l'air et le miroitement de l'eau, comment est-ce que vous pouvez les acheter ?
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Chaque parcelle de cette terre est sacrée pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque rive sableuse, chaque lambeau de brume dans les bois sombres, chaque clairière et chaque bourdonnement d'insecte est sacré dans le souvenir et l'expérience de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres transporte les souvenirs de l'homme rouge.
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Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu'ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre magnifique, car elle est  la mère de l'homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos soeurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans !es prés, la chaleur du poney, et l'homme - tous appartiennent à la même famille.
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Aussi lorsque le Grand Chef à Washington envoie dire qu'il veut acheter notre terre, demande-t-il beaucoup de nous. Le Grand Chef envoie dire qu'il nous réservera un endroit de façon que nous puissions vivre confortablement entre nous. Il sera notre père et nous serons ses enfants. Nous considérons, donc, votre offre d'acheter notre terre. Mais ce ne sera pas facile. Car cette terre nous est sacrée.
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Cette eau scintillante qui coule dans les ruisseaux et les rivières n'est pas seulement de l'eau mais le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons de la terre, vous devez vous rappeler qu'elle est sacrée et que chaque reflet spectral dans l'eau claire des lacs parle d'événements et de souvenirs de la vie de mon peuple. Le murmure de l'eau est la voix  du père de mon père.
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Les rivières sont nos frères, elles étanchent notre soif. Les rivières portent nos canoés, et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devez désormais vous rappeler, et l'enseigner à vos enfants, que les rivières sont nos frères et les vôtres, et vous devez désormais montrer pour les rivières la tendresse que vous montreriez pour un frère.
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Nous savons que l'homme blanc ne comprend pas nos moeurs. Une parcelle de terre ressemble pour lui à la suivante, car c'est un étranger qui arrive dans la nuit et prend à la  terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas son frère, mais son ennemi, et lorsqu'il l'a conquise, il va plus loin. Il abandonne la tombe de ses aïeux et cela ne le tracasse pas. Il enlève la terre à ses enfants et cela ne le tracasse pas. La tombe de ses aïeux et le patrimoine de ses enfants tombent dans l'oubli. Il traite sa mère, la terre, et son frère, le ciel, comme des choses à acheter, piller, vendre comme les moutons ou les perles brillantes. Son appétit dévorera la terre et ne laissera derrière lui qu'un désert.
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Je ne sais pas. Nos moeurs sont différentes des vôtres. La vue de vos villes fait mal  aux yeux de l'homme rouge. Mais peut-être est-ce parce que l'homme rouge est un sauvage et ne comprend pas.
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Il n'y a pas d'endroit paisible dans les villes de l'homme blanc. Pas d'endroit pour entendre les feuilles se dérouler au printemps, ou le froissement des ailes d'un insecte. Mais  peut-être est-ce parce que je suis un sauvage et ne comprends pas. Le vacarme semble seulement insulter les oreilles. Et quel intérêt y-a-t-il à vivre si l'homme ne peut entendre le cri solitaire de l'engoulevent ou les palabres des grenouilles autour d'un étang la nuit ? Je suis un homme rouge et ne comprends pas. L'Indien préfère le son doux du vent s'élançant au-dessus de la face d'un étang, et l'odeur du vent lui-même, lavé par la pluie de midi, ou parfumé par le pin pignon.
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L'air est précieux à l'homme rouge, car toutes choses partagent le même souffle - la bête, l'arbre, l'homme, ils partagent tous le même souffle. L'homme blanc ne semble pas remarquer l'air qu'il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l'air nous est précieux, que l'air partage son esprit avec tout ce qu'il fait vivre. Le  vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir. 
Et si nous vous vendons notre terre, vous devez la garder à part et la tenir pour sacrée, comme un endroit où même l'homme blanc peut aller goûter le vent adouci par les fleurs des prés.
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Nous considérerons donc votre offre d'acheter notre terre. Mais si nous décidons de  l'accepter, j'y mettrai une condition : l'homme blanc devra traiter les bêtes de cette terre comme ses frères.
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Je suis un sauvage et je ne connais pas d'autre façon de vivre. J'ai vu un millier de bisons pourrissant sur la prairie, abandonnés par l'homme blanc qui les avait abattus d'un train qui passait. Je suis un sauvage et ne comprends pas comment le cheval de fer fumant peut être plus important que le bison que nous ne tuons que pour subsister.
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Qu'est-ce que l'homme sans les bêtes ?
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Si toutes les bêtes disparaissaient, l'homme mourrait d'une grande solitude de l'esprit.
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Car ce qui arrive aux bêtes, arrive bientôt à l'homme. Toutes choses se tiennent.
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Vous devez apprendre à vos enfants que le sol qu'ils foulent est fait des cendres de nos aïeux. Pour qu'ils respectent la terre, dites à vos enfants qu'elle est enrichie par les vies de notre race. Enseignez à vos enfants ce que nous avons enseigné aux nôtres, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Si les hommes crachent sur le sol, ils crachent sur eux-mêmes.
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Nous savons au moins ceci : la terre n'appartient pas à l'homme ; l'homme appartient à la terre. Cela, nous le savons. Toutes choses se tiennent comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses se tiennent.
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Tout ce qui arrive à la terre, arrive aux fils de la terre. Ce n'est pas l'homme qui a  tissé la trame de la vie : il en est seulement un fil. Tout ce qu'il fait à la trame, il le fait à lui-même. 
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Même l'homme blanc, dont le Dieu se promène et parle avec lui comme deux amis ensemble, ne peut être dispensé de la destinée commune.
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Après tout, nous sommes peut-être frères. Nous verrons bien. Il y a une chose que  nous savons, et que l'homme blanc découvrira peut-être un jour - c'est que notre Dieu est le même Dieu. Il se peut que vous pensiez maintenant le posséder comme vous voulez posséder notre terre, mais vous ne pouvez pas. Il est le Dieu de l'homme, et sa pitié est égale pour l'homme rouge et le blanc. Cette terre Lui est précieuse, et nuire à la terre, c'est accabler de mépris son créateur. Les blancs aussi disparaîtront ; peut-être plus tôt que les  autres tribus. Contaminez votre lit, et vous suffoquerez une nuit dans vos propres détritus.
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Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du Dieu qui vous a amenés jusqu'à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l'homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas  lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de  la forêt chargés du fumet de beaucoup d'hommes et la vue des collines en pleines fleurs ternies par des fils qui parlent.

 

CHERCHEZ BIEN

Une légende de l'Inde qu'il fut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de cette chance que Brahma, décida de leur oter cette divinité et de la cacher..

Le grand conseil des dieux se rassembla alors ...

" Enterrons la divinité de l'homme sous terre " proposa l'un d'eux

Brahma répondit : " Cela ne suffira pas, l'homme creusera et la retrouvera".

" Alors jetons-là dans la profondeur d'un océan", dit un autre

Mais Brahma affirma: "Tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs, la découvra et la remontera à la surface".

C'est alors qu'un vieux grand Sage proposa : "Cachons ce ce secret, au plus profond de l'homme lui-même. C'est bien le seul endroit où la majorité s'entre eux ne cherchera jamais".

Et depuis ce temps-là, l'homme a fait le tour du monde, a exploré, escaladé, plongé, creusé à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui...

 

Comme toujours armés
des flèches de l'amour,
mais également
du bouclier de l'humour,
pensons aussi, parfois,
à combattre la connerie
à coups de points
d'interrogation.

 

 

Il arrive que la notoriété usurpée de certains soient essentiellement due à ce que plusieurs candidats usur- pateurs ont bien pris concience de leur intérêt person- nel à en encenser d'autres d'un niveau aussi moyen, pour le plus, que le leur. Ca n'est pas tout à fait du même genre que la mode souvent articielle de l'admiration pour certaines écoles de peintures "modernes" plus ou moins figuratives, mais ça peut y faire penser.

Surtout ne pas confondre, s'il vous plaît
"Foi simple" et "Foi simpliste"

 

         

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